Services postaux dans le Puy-de-Dôme
de la Révolution de 1789 à la Révolution industrielle


     Le département du Puy-de-Dôme a été créé le 4 mars 1790 par lettres-patentes du Roi, après un décret de l'Assemblée nationale des 15 janvier, 16 et 26 février 1790 ordonnant la division de la France en quatre-vingt-trois départements. A partir du mois de janvier 1792, suite à un décret de l'Assemblée constituante du 26 août 1790 (art. 5), l'administration générale des postes aux lettres, des postes aux chevaux et des messageries sera régie par les soins d'un Directoire des postes se substituant à la Ferme des Postes.

     En 1790, il existe douze établissements de la poste aux lettres dans le département du Puy-de-Dôme : les cinq bureaux "historiques" créés au dix-septième siècle (Clermont, Riom, Thiers, Issoire et Aigueperse), les quatre bureaux ouverts en 1766 par la Ferme des Postes sur les itinéraires de messagerie qu'elle exploite (Ambert, Ardes, Billom et Tauves), et trois derniers bureaux ouverts en 1785 (Rochefort et Montaigut, auparavant distributions de messagerie) et en 1789 (Lezoux, qui possède déjà un relais de poste, distribution de poste qui deviendra rapidement direction). La préfecture, Clermont, et les quatre sous-préfectures (Riom, Thiers, Issoire et Ambert) disposent d'un bureau, les autres établissements étant situés dans des chefs-lieux de canton placés sur l'itinéraire de services postaux, routes de poste ou de messagerie. On peut noter que Pont-du-Château, relais de poste sur la route de Clermont à Lyon, a brièvement accueilli un bureau entre juin 1784 et mars 1785, lequel ne rouvrira pas avant 1832.


Relais de poste dans le Puy-de-Dôme en 1791

     Il existe également quinze relais de la poste aux chevaux, dont six sont situés dans des communes abritant aussi un bureau de poste (Clermont, Riom, Thiers, Issoire, Aigueperse et Lezoux). L'Etat général des postes de France pour l'année 1791 ne laisse pas apparaître de modifications notables dans l'organisation des routes et relais du Puy-de-Dôme, par rapport à ce qui existait déjà sous l'Ancien Régime. Ceci est confirmé par une carte de 1793 [1] reproduisant quasiment trait pout trait la liste de 1791, si ce n'est que Pont-du-Château y a été rebaptisé Pont-sur-Allier, Révolution oblige. L'organisation de la poste aux chevaux restera stable jusqu'à la chute de l'Empire.


Routes de poste dans le Puy-de-Dôme en 1793

     En ce qui concerne la poste aux lettres, on relève l'ouverture d'une demi-douzaine d'établissements durant la période révolutionaire : quatre directions à Pontgibaud (qui fermera en 1797) et à Lezoux en 1792, à Besse en 1793 et à Maringues en 1794, et deux distributions à Saint-Germain-Lembron en 1800 et à Saint-Amand-Roche-Savine en 1804. Cette dernière fermera assez rapidement. Ces établissements sont installés dans des chefs-lieux de canton hébergeant déjà un relais de poste ou une distribution de messagerie. L'installation de bureaux de poste prioritairement dans les chefs-lieux de cantons n'est certainement pas sans rapport avec la préoccupation du Gouvernement de communiquer très étroitement avec les communes. Un arrêté de décembre 1796 établit une relation entre les mairies et les bureaux de poste par l'intermédiaire de messagers-piétons chargés des dépêches administratives, en particulier du Bulletin des lois [2]. Pratiquement tous les établissements créés dans le Puy-de-Dôme au cours du demi-siècle suivant le seront dans des chefs-lieux de canton.


Arrêté du IV nivôse an V - Bull. 98 n° 924

     Après l'élaboration d'une demi-douzaine de tarifs postaux entre 1792 et 1796, basés sur les anciennes mesures et monnaies, la loi du 18 décembre 1799 (n° 3477, Bull. 338), applicable le 22 mars 1800, introduit une nouvelle série de taxes reposant sur le système décimal. Les taxes devant être calculées d'après les distances les plus courtes des services des postes (art. 1), la loi prescrit de faire exécuter un tableau reportant précisémment l'état de ces services (art. 3). Ce tableau [3] nous montre le détail des relations établies entre les quinze établissements de poste existant dans le Puy-de-Dôme à la fin du dix-huitième siècle.


Services de la poste aux lettres dans le Puy-de-Dôme en 1800 (Seguin)

     On constate que les services postaux départementaux sont articulés autour de Clermont. Un courrier en patache à un cheval transporte les dépêches de et pour Paris par Moulins, desservant au passage les bureaux d'Aigueperse et de Riom. Depuis Riom, un cavalier dessert le bureau de Montaigut, et un piéton celui de Maringues. De Clermont, un courrier à cheval, passant par le bureau de Lezoux, dessert celui de Thiers, lequel reçoit les dépêches de Lyon par un cavalier venu de Roanne, et les transmet à Clermont. Une patache transporte les dépêches de et pour Saint-Flour et Le Puy, passant par la distribution de Vaire (Veyre) et le bureau d'Issoire. Depuis Issoire, un piéton dessert le bureau d'Ardes. De Clermont encore, des courriers à cheval rejoignent les bureaux de Billom et d'Ambert (qui reçoit aussi un courrier à cheval de Montbrison), celle de Besse, et enfin la distribution de Rochefort et la direction de Tauves, sur la route d'Aurillac. Cette carte permet de relever deux imprécisions dans l'annexe de l'Encyclopédie des timbres-poste de France, puisque cette dernière signale le bureau de Rochefort comme étant fermé vers 1798 (distribution ouverte "avant 1822"), et la distribution de Vaire comme étant "en exercice en 1826" (la date de création de la distribution ne figure pas aux archives, elle sera érigée en direction en 1828). On remarque que la route de Limoges, par Pontgibaud et Pontaumur, n'est pas illustrée sur cette carte, car ces deux bourgs n'abritent pas d'établissement de la Poste aux lettres, mais seulement un relais de la Poste aux chevaux, qui fait transiter les dépêches sans les traiter.

     La configuration des relais de poste reste globalement stable dans le Puy-de-Dôme durant toute la période du Premier Empire. Tout au plus peut-on constater, à la lecture de l'Etat général des postes de France pour l'année 1811, le remplacement du relais de Peubru par celui de La Bergère (commune de Celles), puis la disparition du relais des Baraques sur la carte des routes de poste de 1815 [4]. Cette même année aura lieu l'ouverture des distributions de Pontaumur et Pontgibaud, chefs-lieux de cantons et relais de poste qui seront érigés en direction de poste en 1826 et 1829. Sur une carte suivante, datée de 1818 [5], on remarque la disparition des relais de Coudes et de Saint-Germain-Lembron, sur la route de Saint-Flour. Ces relais étaient désignés vacants sur la carte de 1815 (leur nom y étant accompagné d'un astérisque).


Cartes des routes de poste de France, 1815/1818 (Tardieu)

     Un décret de mars 1810 déclarant les bains du Mont d'Or d'utilité publique sera suivi, en avril 1812, d'un arrêté autorisant la prise de possession des eaux thermales par le Gouvernement. Cet événement aura une conséquence directe sur l'organisation postale dans le Puy-de-Dôme, puisque l'Etat général des postes pour 1818 rapporte l'ouverture d'une nouvelle route de poste entre Clermont et le Mont d'Or, comprenant un relais à Rochefort, et desservie par des voitures à quatre chevaux. Si cette création est probablement motivé par le besoin du transport rapide des curistes, il n'en reste pas moins qu'elle a pour conséquence l'ouverture d'une distribution de poste aux bains du Mont d'Or (Mont-Dore) en juillet 1820. Cet établissement est le premier à être ouvert, dans le Puy-de-Dôme, dans une commune n'étant pas chef-lieu de canton. L'amorce de cette route vers le sud-ouest sera prolongée dans les années suivantes, sous le nom de route royale 89. Elle conduit à Tulle et Bordeaux, à partir de La Baraque, passant par les relais de Rochefort et de Bourg-Lastic, comme on peut le voir sur une carte datée de 1825 [6]. Bourg-Lastic, chef-lieu de canton, sera à son tour doté d'une distribution de la poste aux lettres en 1830. La carte laisse également voir le tracé d'une route de poste partant d'Aigueperse en direction de Vichy, qui passera par le relais de Randan lors de la création de celui-ci quelque temps plus tard.


Cartes des routes de poste de France, 1825 (Tardieu)

     Au cours de cette décennie, outre l'érection en direction de poste des distributions de Pontaumur (1826), Vayre (1828) et Pontgibaud (1829), on assiste à la création de six distributions nouvelles, toutes installées dans des chefs-lieux de canton, à Sauxillanges (1821), Saint-Germain-l'Herm (1827), Randan (1828), Saint-Gervais-d'Auvergne, Châteldon et Bourg-Lastic (1830), et la réouverture de celle de Saint-Amand-Roche-Savine (1830). Le Puy-de-Dôme compte alors vingt-six établissements de la poste aux lettres (seize bureaux et dix distributions) et seize relais de la poste aux chevaux. Une carte datant probablement de 1831 ou 1832 [7] nous fournit le détail de l'organisation des deux postes dans le département.


Service des postes dans le Puy-de-Dôme vers 1832 (Viard)

     Dans le nord du département, Randan reçoit désormais un courrier à pied venu d'Aigueperse, mais le bureau de Riom, s'il envoie toujours un piéton à Maringues, ne dessert ni Montaigut ni Saint-Gervais, qui dépendent de Montluçon (Allier). A partir de Clermont, qui reçoit la malle de Paris, des courriers d'entreprise partent sur la route de Limoges, désormais ouverte à la poste aux lettres, avec les bureaux de Pontgibaud et Pontaumur, et sur celles d'Aurillac, de Saint-Flour, de Montbrison et de Lyon. Le Mont d'Or est desservi par un courrier d'entreprise, Bourg-Lastic par un piéton venu de Rochefort. Au sud, Besse est désormais desservi par un courrier d'entreprise venu d'Issoire, qui envoie également des courriers à pied aux distributions de St-Germain-L'Herm et de Sauxillanges. Ardes est desservie par l'intermédiaire d'un piéton venu de Saint-Germain-Lembron. On remarque que le relais de Vayre a été déplacé à Coudes. Saint-Amand-Roche-Savine est desservi par le courrier d'entreprise pour Ambert, et Châteldon par un piéton venu de Thiers.

     En 1830, la mise en application de la loi Sapey [8] permet à tous les habitants du département d'accéder aux services postaux, par l'intermédiaire de boîtes aux lettres installées dans les communes où il n'existe pas encore d'établissement de poste. Ces boîtes sont visitées au moins un jour sur deux par un facteur venu du bureau le plus proche, établi généralement, nous l'avons vu, dans le chef-lieu du canton, bien qu'il puisse arriver que des communes soit desservies par un facteur venu d'un canton voisin, voire même d'un département voisin. En supplément du courrier des particuliers, les facteurs ruraux échangent également les dépêches administratives avec les mairies, à l'instar de ce que faisaient les messagers-piétons depuis 1797. Au fur et à mesure de leur création, les nouveaux établissements prennent en charge leur propre arrondissement rural, c'est à dire l'ensemble des communes ne possédant pas de bureau de poste que visitent leurs propres facteurs ruraux, soulageant d'autant les bureaux déjà existants.

     La décennie suivante verra l'ouverture de plusieurs nouvelles distributions de la poste aux lettres, à Pont-du-Château en 1832 (érigée en direction en 1841), à Arlanc en 1833 (érigée en direction en 1839), à Saint-Anthème en 1836, à Pionsat en 1837, à Saint-Dier-d'Auvergne en 1838, au Vernet-la-Varenne en 1839, à Jumeaux en 1840, à Menat et à Ennezat en 1841. Durant la même période, les distributions de Saint-Germain-Lembron (en 1837) et Saint Amand-Roche-Savine (en 1838) sont érigées en direction, et des directions nouvelles sont créées à Cunlhat, Champeix et Courpière en 1840. Toutes ces communes sont des chefs-lieux de canton, à l'exception du Vernet-la-Varenne qui bien que n'ayant pas le rang de chef-lieu, est la commune la plus peuplée du canton de Sauxillanges. Le département compte alors vingt-trois bureaux de poste, quinze distributions et trois entrepôts. L'organisation de la poste aux lettres dans le Puy-de-Dôme en 1841 est détaillée sur la carte ci-dessous [9].


Service de la poste aux lettres dans le Puy-de-Dôme en 1841 (Girard)

     La malle-poste de deuxième section venant de Moulins et allant à Montpellier traverse de département du nord au sud, amenant le courrier de Paris à Clermont, après avoir desservi Aigueperse et Riom. Depuis Aigueperse, un piéton dessert Randan, depuis Riom un autre dessert Ennezat et Maringues, qui reçoit aussi un piéton venu de Lezoux porteur du courrier de Lyon. Un courrier en voiture relie Montluçon à Riom, passant par Montaigut, qui envoie un piéton à Pionsat, et par l'entrepôt de Château-Gaillard, qui tient les dépêches pour Menat et Saint-Gervais à la disposition d'un courrier à pied. Riom envoie un courrier à cheval sur Pontgibaud et Pontaumur, bureaux qui sont aussi desservis par une voiture venant de Clermont. Thiers reçoit le courrier de Paris par une voiture venant de Saint-Gérand-le-Puy, laissant au passage à l'entrepôt de Puy-Guillaume la dépêche pour Châteldon, prise par un piéton. Thiers communique aussi avec Roanne, Lyon et Clermont par des courriers en voiture, ce dernier passant par Lezoux et Pont-du-Château, et envoie un cavalier à Courpière.

     La malle-poste continue son chemin vers le sud, desservant les bureaux de Veyre, Issoire et Saint-Germain-Lembron. Depuis Veyre, un piéton va à Champeix, qui en reçoit un autre venu d'Issoire, lequel poursuit son chemin jusqu'à Besse. Ardes reçoit également un piéton venu de Saint-Germain-Lembron. Depuis Issoire, des piétons desservent Sauxillanges et Jumeaux, et un courrier en voiture va à Saint-Germain-l'Herm par le Vernet-la-Varenne. Vers le sud-est, un courrier en voiture dessert Ambert, passant par Pont-du-Château, Billom, Saint-Dier, l'entrepôt de Laslayras où un piéton vient prendre la dépêche pour Cunlhat, et Saint-Amand-Roche-Savine. Ambert reçoit un courrier à cheval de Montbrison, qui dessert Saint-Anthème. Ambert envoie aussi des piétons à Arlanc et à Saint-Germain-l'Herm. Dans le su sud-ouest du département, Clermont est relié à Ussel et Aurillac par des courriers en voiture desservant les distributions de Rochefort et Bourg-Lastic et le bureau de Tauves. Enfin, des cavaliers venus de Rochefort et Clermont desservent la distribution des Bains-du-Mont-Dore, selon leur nouvelle appellation.


Service de la poste aux chevaux dans le Puy-de-Dôme en 1840

     En ce qui concerne la poste aux chevaux, une carte anonyme datée de 1840 fait apparaître deux nouveautés importantes par rapport à la situation antérieure. Si les deux axes nord-sud et est-ouest ne changent en rien, en revanche une nouvelle route de poste relie désormais Montluçon à Riom, passant par des relais établis à Montaigut et à Saint-Pardoux. Au sud-ouest de Clermont, le tracé de la route 89 est modifié afin d'éviter la côte de La Baraque, et elle passe désormais par Randanne, où est établi un relais de poste, ce qui permet de relier Le Mont-Dore directement depuis Clermont. En 1842, le chapitre consacré aux changements et additions survenus pendant l'impression du Livre de poste permet de constater l'ouverture d'une nouvelle route reliant Moulins au Puy, passant par l'entrepôt-relais de Puy-Guillaume, Thiers, Courpière, Olliergue, Ambert et Arlanc. Le relais de poste de Thiers est établi au Moutier, faubourg au pied de la ville.


Livre de poste pour l'an 1842 - I. N. Paris

     Les années suivantes verront l'ouverture de nouvelles distributions de poste à Combronde et à Vic-le-Comte en 1842 (érigées en direction en 1845), à Manzat et à Olliergues en 1843 (Manzat deviendra direction en 1845), à Latour-d'Auvergne et à Viverols en 1844 (Latour deviendra direction en 1845), à Puy-Guillaume en 1845, à Herment en 1846, à Saint-Amant-Tallende en 1849. Les distributions de Jumeaux (1842), de Rochefort, Saint-Germain-l'Herm, Randan et Menat (1843), de Sauxillanges et Pionsat (1844), d'Ennezat, Saint-Dier et Saint-Gervais-d'Auvergne, Bourg-Lastic, Saint-Anthème, Le Mont-Dore, Châteldon deviennent des directions de poste, tandis que la direction de Vertaizon est créée en 1844 sans qu'une distribution ait auparavant été installée dans la commune, qui est relativement rare. Toutes ces communes sont des chefs-lieux de canton, à l'exception de Puy-Guillaume, entrepôt et relais de poste, commune assez peuplée du canton de Châteldon. En 1850, tous les chefs-lieux de canton du Puy-de-Dôme abritent un bureau de direction des postes, sauf cinq d'entre eux, Viverols, Olliergues, Herment et Saint-Amant-Tallende qui sont seulement dotés d'une distribution, et Saint-Rémy-sur-Durolle, qui n'est encore qu'une commune rurale, postalement parlant.


La France nouvelle en 86 départements à l'usage des jeunes élèves, Bes (Paris) 1854

     En 1855, une distribution des postes est installée à Saint-Rémy-sur Durolle, et une autre à Saint-Avit, l'un des plus anciens relais de la poste aux chevaux encore en fonctionnement dans le Puy-de-Dôme. Depuis quelques semaines, le chemin de fer conduit depuis Paris un bureau de poste ambulant, porteur des dépêches postales jusqu'à Clermont et bientôt jusqu'à Issoire et Lempdes, ce qui a pour conséquence la suppression de la malle-poste qui traversait le département du nord au sud en direction de Montpellier. Le Progrès est en marche ...


Bulletin mensuel des Postes, décembre 1855

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Notes
[1] Carte géométrique des routes de postes de la République Française dressée par Ordre des Administrateurs des Postes, Relais et Messageries pour l'An 2ème de la République Une et Indivisible, [s.n.] (Paris) 1793. [up]
[2] Arrêté du Directoire exécutif qui établit un mode pour faciliter les correspondances entre les ministres, etc., et les autorités constituées et les fonctionnaires publics qui ne sont pas servis directement pas la poste, 4 nivôse an V, Bull. 98, n° 924. [up]
[3] Tableau des services de la poste aux lettres, dressé en exécution de la loi du 27 frimaire an VIII, Joseph-Dominique Seguin [s.n.] (Paris) 1800. [up]
[4] Carte des Routes de Poste de France dressée par ordre de Mr. le Directeur Général des Postes, P. F. Tardieu, 1815. [up]
[5] ibid., 1818. [up]
[6] ibid., 1825. [up]
[7] Carte spéciale des postes de France indiquant les divers établissements de cette administration et les routes desservies par tous les courriers de la Poste aux Lettres, C. Viard, attaché à la direction générale des Postes, non datée. [up]
[8] Loi des 3 et 10 juin 1829 relative à établissement d'un service de poste dans toutes les communes du royaume (VIII, Bull. CCXCIV, n° 11235). [up]
[9] Carte des services de la poste aux lettres, X. Girard, [s.n.] (Paris) 1841. [up]

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